Fédération Cinov Hauts-de-France

Quelles sont les spécificités de la région Hauts-de-France ?

La région Hauts-de-France compte beaucoup d’entreprises et de bureaux d’étude, qui constituent un gros potentiel pour Cinov. Nous comptons aujourd’hui 80 adhérents, essentiellement regroupés autour de la métropole lilloise ; il s’agit principalement d’entreprises des secteurs de l’ingénierie - construction et infrastructure - et du numérique.

Quelles sont les actions menées à l’échelle de  la Fédération Cinov Hauts-de-France ?

Notre objectif est de proposer un à deux évènements importants par an, auxquels nous tenons à inviter non seulement nos adhérents mais aussi les donneurs d’ordre de la région, pour accroitre la visibilité de Cinov . Nous avons ainsi organisé en 2016 une rencontre sur la maquette numérique, en 2017 sur l’attestation acoustique et en 2018 sur les délais de paiement dans la commande publique. Nous choisissons des thématiques en fonction des souhaits exprimés par nos adhérents à l’occasion de l’assemblée générale de Cinov Hauts de France. Cette année, en 2019, nous avons accueilli le congrès national, qui a été un moment phare, grâce auquel Cinov Hauts-de-France a bénéficié d’un coup de projecteur important.

Quels sont les axes de développement que vous envisagez ?

Nous voulons recruter et fidéliser de nouveaux adhérents, en mettant à leur disposition les outils proposés par la Fédération, mais en leur montrant aussi l’intérêt d’appartenir à un syndicat actif sur le plan local. Dans cette optique, nous accueillerons le Rex BIM Tour début 2020 et nous continuerons à nous investir dans le domaine de la formation. Grâce à notre participation à la Commission paritaire régionale sur la formation et l’emploi et grâce aux deux contrats de branche que nous avons signés en faveur de l’emploi et de la formation dans nos métiers, nous pesons sur le contenu de la politique régionale de formation. C’est essentiel pour que, demain, nos entreprises trouvent les profils de salariés dont elles ont besoin.